ZZ*Letters (1790-1801) commenting Germaine de Staël LETTER Switzerland
Title | ZZ*Letters (1790-1801) commenting Germaine de Staël |
---|---|
Is same as work | ZZ*Letters (1790-1801) commenting Germaine de Staël |
Part of work | |
Author | Charrière, Isabelle de |
Reference | |
Place | Switzerland |
Date | 1790 |
Quotation | |
Type | LETTER |
VIAF | |
Notes | ['Sur Mme de Staël, l’auteur : spiritualité et éloquence\n\nLettres à Jean-Pierre de Chambrier d’Oleyres \nt. III, p. 187 du 19-20 févr.1790 :Je ne connais pas Mme de Staël à qui je crois beaucoup d’esprit, mais d’un genre que je n’aime guère\n\nt. IV, p. 280 du 30 nov. 1793 : Oh! qu’elle parle bien cette femme (Mme de Staël) C’est une élégance, une facilité, une précision si parfaites, si soutenues!\n\nt.IV, p. 324 du 1er févr. 1794 :Admiration pour l’éloquence de Mme de Staël, non pas pour son style d’écrire. \n\nt. V, p. 356 du 13-14 oct.1797 : vanité et habilité de Mme de Staël. Elle a besoin de beaucoup d’action\nlettres à Benjamin Constant \n\nt.IV, p. 141 du 7 août 1793 : Mme de Staël veut voir l’auteur de Caliste, mais Isabelle de Charrière n’en est pas charmée\n\nlettre 1128: "Voici de bien longues phrases. Mme de Staël en a d\'encore plus obscures, mais cela ne m\'excuse pas. Nous sommes bien de même avis sur Mme de Staël. Son esprit n\'est pas simple, ni toujours juste et son sentiment n\'est que de l\'esprit; avec tout cela vous l\'admirerez si vous la voyez. Très bien comprendre, très bien répondre, s\'exprimer avec grâce, rapidité et élégance, c\'est assez rare pour qu\'il faille l\'admirer. Avec tout cela je ne me soucierais pas du tout de la société intime ni seulement fréquente de Mme de Staël". \n\nt.IV, p. 621 du 22 oct. 1794: Je crois Mme de Staël très spirituelle et non moins bonne que spirituelle\nLettres à Ludwig Ferdinand Huber \n\nt.V, p. 468 du 1 au 3 août 1798 : L’illustre Mme de Staël a dit : Oui, c’est sûr, les gens d’un esprit médiocre sont les plus heureux. Commentaire de Mme de Charrière : Que dites-vous de cette absurde impertinence ?\n\nt.V, p. 117 du 30 juin 1795 :Mme de Staël est nommée : l’éloquent auteur\n\nt.V, p. 149 du 14 oct 1795:Mme de Staël est nommée : ce pauvre Don Quixotte Staël [etc]\nLettre à Henriette L\'Hardy t.III, p. 336 du 2-4 févr. 1792: Mme de Staël, un des exemples de l’abus de l’esprit\n\nLettres à Caroline de Sandoz-Rollin: \n\nt.V, p. 333-334 : du 8 juillet 1797 : Mme de Staël est un des auteurs par lesquels la langue française s’abâtardit : Tout est gigantesque à la fois et mesquin. La boursouflure et la trivialité se succèdent. Les idées toutes exagérées qu’elles sont, s’expriment avec une recherche minutieuse. \n\nt.V, p. 287 du 27 janvier 1797 :Mme Huber, Mme de Staël, Mme de Genlis dans un tas d’aventures et de réflexions atroces, gigantesques, sublimes, ne produisent pas une seule minute l’effet que fait ce pauvre petit conte (Le Serin, anonyme)\n\nt. VI p. 185 du 22 déc. 1800 :[l’ouvrage] Hermann und Dorothea de Goethe vaut mieux que […] tout ce que font les Staël et les Genlis.\nLettres à Ludwig Ferdinand Huber\n\nt. VI, p. 21 du 23 janvier 1800 : Benjamin Constant n’était pas chez Mme de Staël à l’école de la vérité et de la raison sévère et simple.\n\n t. VI, p.160 du 27-28 oct. 1800 : Mme de Charrière s’excuse pour sa conversation qui avait été aussi découssue que les écrits de Mme de Staël.\n\nt. VI p.170 du premier nov. 1800 : Mme de Staël écrit sous la bannière d’un parti. Elle se lamente et se glorifie et a l’air de ne pas savoir ce qu’elle dit.\n\nt.VI, 190 du 30-31 déc. 1800 :Je trouve dans la plupart des ouvrages soi-disant philosophiques, soi-disant religieux, un fond de faux foncier…\n\nt.VI, p. 212 du 4-5 févr. 1801 : Mme de Genlis à mon gré est trop “deutlich” Mme de Staël pas assez “klaar”\n\nLettre à Jean-Pierre de Chambrier d’Oleyres du 24 mars 1796, t. V, p. 227 : Mme de Staël [et d’autres] ne cèdent rien en fait de vanité littéraire aux pieds plats les plus dénués\n\n\ninfo: CKruikemeier\n--------------------------'] |
No works found