Notes |
['à Chambrier d\'Oleyres (6 déc. 1788, 115)\n"Je suis si vaine pour mon sexe des lettres de la margrave de Bayreuth que je les lis à tout le monde. Je n\'ai jamais rien vu d\'une femme qui prouve aussi complètement que nous pouvons être tout ce que sont les hommes. On dit que Sapho l\'avait prouvé quant à la poésie, la margrave le prouve quant au grand et bon esprit, c\'est donc un procès jugé".\n\nineLaborateBvZ \nfacets \njudgment/reaction: identification\narguments: message\ncomparing: W to M\n\t\t\nold:\n1. Reference to the woman’s reputation as author:\nAuthor presented as well known\n2. Presentation of the author:\nHer private life no highlighted? \t\t\t\n3. Reference to her financial situation:\nHer need for publishing not mentioned?\t\t\n4. Evaluation of the author’s work:\nPositive \n\nAbstracting: 1b2b3b4a\n\nà Dudley Rider (12 janvier 1789; 123):\n“Les femmes me sont toujours de quelque chose. Je m\'en moque malgré moi plus que des hommes, quand je trouve de quoi me moquer ou plutôt quand elles me frappent d\'une certaine manière et je les admire aussi avec plus de transport quand elles me paraissent le mériter. Par exemple les lettres de la margrave de Bayreuth que j\'ai trouvées dans les oeuvres de Voltaire m\'ont fait un plaisir infini. Lisez-les, vous y trouverez une justesse, une précision, une élégance, une proportion entre les différentes parties du récit qui vous charmeront; après cela on ne doutera plus que les femmes ne puissent avoir l\'esprit aussi bien fait que les hommes. Que cela soit plus rare, à la bonne heure, mais cela est possible puisqu\'on le voit. [...]”\n\nineLaborateBvZ \nfacets \narguments: textual qualities\ncomparing: W to M']
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