*Divers passages dans Histoire de la littérature féminine en France WORK France
| Title | *Divers passages dans Histoire de la littérature féminine en France |
|---|---|
| Is same as work | *Divers passages dans Histoire de la littérature féminine en France |
| Author | Jean Larnac |
| Reference | |
| Place | France |
| Date | 1921 |
| Quotation | |
| Type | WORK |
| VIAF | |
| Notes | ['p.43-44 : Louise Labé, la grande Lyonnaise, livrait au public son [curs]Débat de folie et d\'amour[curs] dans lequel elle demandait aux femmes de cultiver leur esprit"\np. 56 : "Parmi les romancières [...]deux seulement ont légué leur nom à la postérité : Marguerite de Navarre et Louise Labé"\np.64 :"La perle des perles fut [...]Louise Labé, musicienne et poétesse entourée d\'admirateurs, de commentateurs, de panégyristes et d\'amoureux"\n[courte biographie]\np. 65 : "Son oeuvre est brève [...] Mais quel feu, quelle passion dans le mince recueil qu\'elle nous a laissé"\np.67 Louise Labé joignait à la "brutale sincérité de la passion, la finesse psychologique"[...] "ses vers, aussi bien que sa prose mélodieuse, présentent une merveilleuse originalité de forme [...] "musicalité un peu semblable à certains vers de Verlaine"[...] "La classer serait peine perdue. Elle vécut au temps de la Pléiade sans en être influencée. C\'est qu\'elle écrivait selon son coeur, sa chair, ses sens, ses nerfs. Ses vers semblent le fruit spontané di génie"[...] Jamais elle ne se mit à l\'école des hommes. Elle fut femme, uniquement, mais pleinement aussi" [...] "Louise Labé fut fêtée comme une déesse"\np. 114: Bien des femmes se mirent à composer des vers, mais aucune d\'entre elles n\'atteignit la maîtrise de Louise Labé, plus soucieuse de vivre que d\'écrire.\np.189 :"On publia, en 1844, la première édition moderne des oeuvres de Louise Labé..."\np.249 : "Pour les poétesses, chaque grande époque en compte une dont le nom vaut d\'\ntre retenu [suit une énumération dont Louise Labé] [elles] se sont livrées aà une poésie de pure inspiration. Leurs vers sont des cris passionnés qui semblent exsuder le trop plein d\'une âme éperdue d\'émoi ..."\np. 250 :"Ainsi, nul sonnet féminin, pas même ceux de Louise Labé, n\'atteint cette fermeté de contours, cette perfection d\'ensemble qu\'on admire dans tel sonnet de Ronsard ou de Baudelaire. Nulle femme n\'a pu ...etc".\nCKJul01.'] |
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