Notes |
["[] J'ai lu, ma chere maman, La Princesse azerolle ou l'excès de la constance. Mon coeur ne se trompera jamais, ma chere maman, et je vous reconnaitrai toujours; votre facon d'ecrire est si noble, vos sentiments tendres et grands ne peuvent vous faire meconnaitre. []\n\ncf. aussi lettre a Devaux fin dec 1758/janvier 1759: [..] Elle vous legue tous ses ecrits; c'est sa volonte expresse qu'ils vous soient tous remis.je vous dirai pour sa gloire et pour notre consolation que tout Paris les attend avec la plus vive impatience. je crois, mon cher Pampan, que vous aimez trop son nom et sa reputation pour/ frustrer l' attente du public. [...] Recueillez, chemin faisant, tout ce que vous trouverez de lettres d' elle et faites-en un choix. [..] J'oubliais de vous dire de ramasser aussi toutes les anecdotes les plus interessantes de sa vie, car, a la tete de ses ouvrages, il faudra, s'il vous plait, que vous en donniez un abrege dans lequel vous aurez soin de developper, avec toute la force et l'energie dont vous etes capable, la grandeur de son ame, la sensibilite inouie de son cour, la penetration et l'etendue de son esprit. [...] (Corr.gen. Helvetius t.II, p. 180-1)"]
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