| Notes |
["C’est ce que l’on peut écrire de mieux sur ce sujet, avec une netteté, une précision et un raisonnement; j’en demande pardon à Mr de V., mais c’est bien au-dessus de lui. (1738, I 63, p.224)\r\n\r\n1739\r\nLETTRE 217 nov. II 252\r\nJe m' en vais te barbouiller l'histoire de Gaspard (= Koenig). Je te dis d'avance que c'est un secret que je suis bien aise d'avoir, mais sur lequel je suis liée par celui qui me l'a confié. Pendant que je souffrais l'année passée de la part de cette personne à qui je ne donnerai ici aucun nom, elle travaillait à un livre de physique bien secrètement. Elle l'a fait imprimer. Un jour Gaspar a trouvé des épreuves qu'on lui avait envoyées. Il les lit et voit qu'il n'y a pas le sens commun, et des ignorances à se faire siffler. Il contrefait son écriture et y met des notes qui détruisent entièrement le livre. L'auteur qui les trouve, dissimule, quoiqu'il ne puisse douter que ce ne soit Gaspart, et se contente de mettre ses matières sur le tapis. Gaspart, qui était déjà mécontent des procédés, foudroye toutes les questions et enfin réduit l'auteur à sentir qu'il n'a rien fait qui vaille, toujours sans s'expliquer. Un beau jour, la bombre crève, et avec des larmes abondantes on avoue sa turpitude de vouloir faire ce que l'on ne sait pas. [ etc.]"]
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