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['addressing only her children in fact (her son being later a literary critic and writing about Sand in De Gids), not published before 1981\n\nPublished as:\nHooijer-Bruins, Keetje. Domineesdochter in \'s-Graveland. Domineesvrouw in Zaltbommel. Zaltbommel, Europese Bibliotheek, 1981 \n\nYear of first "publication" estimated.\n\nIncipit: “Les impressions personnelles”, zegt George Sand bij het begin van haar Histoire de ma vie, “ces voyages ou ces essais de voyages dans le monde, racontés par un esprit sincère et sérieux, peuvent être un stimulant, un encouragement et même un conseil et un guide pour les autres esprits engagés dans le labyrinthe de la vie. C\'est comme un échange de confiance et de sympathie, qui élève la pensée de celui qui raconte et de celui qui écoute. Dans la vie intime un mouvement naturel nous porte à ces sortes d\'expansions à la fois humbles et dignes: \'j\'ai souffert les mêmes maux, j\'ai traversé les mêmes écueils et j\'en suis sorti: donc, tu peux guérir et vaincre!\' \'Voilà ce que l\'ami dit à l\'ami\'”, - voilà ce que la mère dit à ses enfants, - voeg ik er bij. (I, 1) \nsvdnov09\n\n[vol. I, p. 130]\nA propos de la rencontre avec son mari, elle se compare à Madame de Staël: “C’était pour moi un grand bonheur de trouver un mari qui me dominait non seulement en âge, mais aussi pour l’expérience de la vie. On aurait pu dire de moi ce qu’une vieille dame très sage disait de la fille de Madame Necker: ‘Elle est peut-être trop instruite. J’espère qu’elle oubliera quelque chose de ce qu’elle a appris dans les livres’” (I, 130).\n\n[vol.II, p. 8 - n.a.v. buurmeisje in Zaltbommel] \nZij [Femmetje vd Vaart] heeft daar zelfs een door haar vervaardigd vers [..] in een letterlievend genootschap voorgedragen. Een zekere juffrouw Temminck uit Leiden, schrijfster van "Brieven over het Evangelie van Johannes" leerde haar kennen. Deze juffrouw had een dierbare vriendin verloren, een vriendin zoals ze voorkomen in de werken van Wolff en Deken. Onder de titel `Maria of het legaat\' had zij het dagboek en brieven van die vriendin, in verband met hare levensgeschiedenis, uitgegeven. Femmetje geleek op de gestorven Maria. Juffrouw Temminck bracht haar sympathie op Femmetje over en beschikte dat na haar dood aan Femmetje zo lang die leefde een jaargeld van duizend gulden zou worden uitbetaald. [..]\n\naddressing only her children in fact (her son being later a literary critic and writing about Sand in De Gids)\n\n\n\nédition récente: Keetje Hooijer-Bruins, Domineesdochter in ‘s-Graveland, Domineesvrouw in Zaltbommel, 1817-1886, Zaltbommel, Europese bibliotheek, 1981, 2 tomes. \n\n\n\n“Les impressions personnelles, dit George Sand au commencement de son Histoire de ma vie, ces voyages ou ces essais de voyages dans le monde, racontés par un esprit sincère et sérieux, peuvent être un stimulant, un encouragement et même un conseil et un guide pour les autres esprits engagés dans le labyrinthe de la vie. C’est comme un échange de confiance et de sympathie, qui élève la pensée de celui qui raconte et de celui qui écoute. Dans la vie intime un mouvement naturel nous porte à ces sortes d’expansions à la fois humbles et dignes: ‘j’ai souffert les mêmes maux, j’ai traversé les mêmes écueils et j’en suis sorti: donc, tu peux guérir et vaincre!’ Voilà ce que l’ami dit à l’ami”, - et j’ajoute: voilà ce que la mère dit à ses enfants. (p. 1)\n\n\n\nsvd']
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