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['Lettres à Benjamin Constant\nL. 1119, t.IV, p. 177 du 21 sept. 1793 :Mme de Staël, sans m’écrire, sans se nommer, m’a envoyé son ouvrage Sur Réflexions sur le procès de la reine par une femme.\n\nt.IV, p. 179 du 23 sept. 1793 : Voici une drôle et triste et noble petite lettre [38 pages en 8] de la spirituelle petite citoyenne. […] La matière à mes yeux se cache sous l’entourage et les ornements.\n\nt. IV, p. 215 du 12 oct 1793 : J’ai relu cette 35-ième page que j’avais admirée […] et j’ai vu que j’y avais admiré ce qui n’y est pas […]\n\n(Benjamin Constant a répondu (t.IV,p. 228) qu’il écrirait bien une feuille intitulée “La grande Colère de Mme de Charrière contre Mme de Staël)\n\nLettre à Thérèse Forster et à Ludwig Ferdinand Huber : \nt.IV, p. 187-188 du 27-28 sept. 1793 : Jugement assez détaillé de ce livre. Elle a écrit à Mme de Staël, relevant avec éloge trois ou quatre endroits de la brochure et surtout le tableau que vous trouverez p.35 qui est très bien fait à mon gré etc. Je pense qu’elle aura entendu la critique dans l’éloge. Il y a deux femmes en Mme de Staël, l’une allemande et naturelle, l’autre française et artificielle. Il ne s’agirait que de choisir parmi ses richesses naturelles ce qui est le plus beau, le meilleur à montrer et à conserver.']
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