*Art. dans Journal Encyclopédique ARTICLE

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Author Unknown journalist (to be identified)
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Date 1759
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Type ARTICLE
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Notes ["voir texte sur disquette;\r\n\r\nTOPOI:\r\n\r\n*INCIPIT_INQUIÉTUDE_FEMININE\r\n\r\nMilady Catesby, jeune veuve de dix-huit ans, habitait à Londres avec sa cousine Milady d'Oremond nouvellement mariée. (JE, p.112)\r\n\r\n*FEMME_TROMPEE\r\n\r\ntrahison décrite comme `un tort qui n'était pas même une infidélité' (JE, p.123), \r\n\r\nOrdre chronologique rétabli, que le roman avait bouleversé, de sorte que le départ précipité par lequel le roman commence, et qui est alors incompréhensible au lecteur, n’est raconté que p. 119: “alla passer quelque temps à la campagne”.\r\nLa dernière phrase du résumé réfère au “secret qui avait tenu si longtemps son âme flottante entre l’amour et le mépris” et qui lui est enfin révélé (123), mais pour les lecteurs la chose était devenue parfaitement claire grâce à ce rétablissement.\r\n\r\n\r\nExcuses pour d’Ossery intégrées dans la narration à la troisième personne: insistance sur sa tendresse (115), ses remords et sa tristesse (116).\r\n\r\nSon refus de pardonner qui est répété régulièrement dans les lettres qu’elle adresse à son amie a pratiquement disparu: “elle plaignait son amant plus qu’elle ne l’accusait” (118). \r\n@refusing_to_forgive\r\n\r\nLe terme de pardon, extrêmement fréquent dans le roman et toujours relié à l’impossibilité qu’elle ressent à cet égard, apparaît une seule fois à la fin du résumé et relié à une conclusion qui rend tout à fait logique ce pardon: “pardonne enfin un tort qui n’était pas même une infidélité. Elle épouse le comte d’Ossery”. (123)\r\n\r\nDans le commentaire ce refus de pardonner et son exaspération relative au comportement masculin sont présentés comme un effet naturel de sa passion: “On s’aperçoit dans ces lettres qu’une femme ne sent les défauts de la plupart des hommes, que lorsqu’elle a une passion bien décidée pour un seul.” (124)\r\n\r\nRiccoboni comme auteur semble inconnue, mais on tire la conclusion: “Aux différents portraits que l’on fait ici des hommes, des distinctions injustes qu’ils établissent entre les deux sexes, de la liberté qu’ils se donnent en amour de laisser agit séparément leurs sens et leur coeur, on croira que l’Auteur de ces lettres est une femme. Mais on le reconnaîtra surtout à cette délicatesse in imitable qui fait le charme et le prix essentiel de l’esprit, dans un sexe qui doit plus sentir que penser. (127)"]
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Lettres de Milady Juliette Catesby à Milady Henriette Campley, son amie Marie-Jeanne Riccoboni