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["(Reprendre photocopie. svd)\n\nArticle repris par La Porte, HLFF, avec des ajouts.\n\n121:\nLe Marquis de Cressy, après s'être distingué à l'armée, parut à la Cour avec cet éclat que donnent une grande /\n122:\nnaissance, une figure charmante, beaucoup d'esprit, une brillante fortune et mille talents. Les hommes recherchèrent son amitié, les femmes désirèrent sa tendresse. [...]\n127\n[scène de la mort de Mme de Raisel]. M. de CRessy ne put se consoler. Adélaïde sacrifiée pour lui, Madame de Raisel morte dans ses bras, formèrent un tableau qui se représentant sans cesse à son idée, empoissonna le reste de ses jours.\nCe Roman, Monsieur, a eu un grand succès, et il le mérite. [...]\n128\n[...]\nTout décèle un auteur à qui les moeurs du monde et les routes du coeur sont également connues. On a cependant trouvé que l'ouvrage avait des défauts; le dénouement surtout a eu des contradicteurs. On est fâché [voir plus bas]\n\n\nTOPOI\nREUSSIR_SUICIDE\n« On est fâché de voir mourir, d’une mort aussi tragique, la Marquise de Cressy. On lui trouve l’âme trop vertueuse, et les passions trop douces, pour la faire finir par ce genre de mort. [...] » (1758, t. IV, p. 128)."]
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