Notes |
['Le succès [après la publication de Claire d\'Albe] lui vint aussitôt; car elle s\'abandonnait aux mouvements de son coeur et livrait à ses lecteurs des pages éperdues qu\'on ne lisait qu\'en sanglotant [..] Un quart de siècle plus tard, en 1830, on la lisait encore. Il fallut rien moins que les grands romanciers du temps de Louis-Philippe pour la détrôner. Alors, un certain ridicule s\'attacha à son nom. Je me demande pourquoi. Elle manquait de génie assurément. Mais elle savait mener un long récit, toucher son lecteur; et son dévergondage sentimental recélait les ferments de révolte et de maladive tristesse qui devaient contituer le romantisme"']
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